Mon bonheur : Souvent j'en rêve, parfois je l'écris. Mon malheur : Jamais n'en crève, plutôt j'en ris.
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Happiness sneaks in through a door you didn’t know you left open.
John Barrymore (via thoughtkick)
“Le bonheur se glisse à travers une porte que tu ne savais pas avoir laissée ouverte.”
Benoît Poelvoorde .
Je ne finirai pas comme un crétin dans un hôtel, avec une fille de 22 ans qui m'emmerde parce qu'elle a envie de sortir" ; "J'adore les femmes qui ont de l'expérience, quand leur histoire s'inscrit sur leur corps, j'adore les femmes qui ont des complexes, parce que j'aime la pudeur " ; "Toutes les femmes avec qui j'ai vécu sont les plus belles femmes du Monde.... Vous vous souvenez de cette réplique de G. Depardieu à M. Blanc dans "Tenue de soirée" de Bertrand Blier?: "Regarde-toi dans mes yeux, tu vas te trouver sublime" c'est ça l'amour, cela n'a rien à voir avec les canons. Les hommes sont tellement fatigués de sexualité qu'ils ne voient pas quand l'amour tape à la porte. La perfection, quel ennui!! .... C'est Proust qui disait: « Laissons les jolies femmes aux hommes sans imagination »
Les yeux d'un chat sont si perçants qu'on a parfois l'impression que d'un seul regard, il peut sonder votre âme…
V. H. SCORP
(via
vhscorp
)
Monsieur Belarus, chat superstar, voit même deux âmes là où vous n’en avez qu’une. ♥
(Oui, c’est débile, mais je connais quelqu’un qui va beaucoup rire de ma blague.)
(source de l’image : https://www.sunnyskyz.com/blog/3020/Meet-Belarus-The-Cross-Eyed-Rescue-Cat-Who-Always-Looks-Perplexed )
“Continue, dit la voix. Malgré toutes les raisons d'abandonner. Un pâle soleil touche la vitre, dessine des ombres soudain plus nettes. Qui te fait signe - une aile passe - et pour dire quoi ?”
— Jacques Ancet - L’imminence et l’oubli
Ils sont si primordiaux, les mots. Ils peuvent être petits ou gros. On a parfois le juste ou le bon, Parfois, ils manquent de fond. On se dit qu'on passe pour un con, Et puis quelqu'un vous répond. Un nouveau vocabulaire s'apprend, et surtout se comprend. Avec des mots, on croise le fer, On alimente et amorce la guerre. On crée un monde en quelques phrases, Que quelques silences parfois écrasent. Quelques ponctuations tissent des liens, si forts que l'on invoque le destin. De la prose ou quelques rimes, Sautent les murs, passent les abîmes. Tant d'années passée mais maintenant, je sens que je conjugue différemment. Tu es mon complément, mon objet, Conjointement, la base et la finalité. Chaque page d'un dictionnaire unique, Donne une leçon au millénaire lexique, Des mots communs et empruntés. Depuis que tu me comprends, je sais parler.
J’ai des chocolats.
“Quand tu t’es vue à travers les yeux de l’être aimé, tu n’es plus la même personne.”
— Elif Shafak - Crime d’honneur
Cela, tu m'as aidé à le comprendre pleinement : La beauté du véritable Amour, ça n'est pas d'avoir toujours parfaitement juste l'un sur l'Autre. C'est d'être bienveillant même face à ce que l'on ne comprend pas encore. C'est ce réflexe d'ouvrir les bras là où d'autres reculeraient ou fermeraient les yeux. C'est ne pas se demander : "Puis-je t'accepter si je ne te connais pas entièrement ?" Mais plutôt : "Puis-je décemment avoir peur de ton inconnu alors que je chéris ton contour ?" Merci de m'ouvrir ta porte quand parfois je te suis étranger. Merci de venir frapper à la mienne quand tu ne te reconnais pas Toi-même. Je t'aime.
- Nos confessions nocturnes.
"Rêvons-nous ? N'ai-je à prononcer qu'un nom précis pour que tout fasse sens, pour qu'adviennent de petits miracles, et être entraîné de plus en plus profondément dans l'enchantement ? Les étoiles chantent, c'est un bruissement aigu ; je n'essaierai d'en convaincre personne, mais ce soir là nous l'avons entendu."
“Are we dreaming? Do I have only to pronounce a certain name, so that everything will come together, small miracles will happen, and I will be drawn deeper and deeper into an enchantment? The stars sing, it is a high whirring sound; I will not try to convince anyone, but we heard it that night.”
— Christa Wolf, from Cassandra: A Novel and Four Essays, trans. Jan van Heurck (Farrar, Straus, and Giroux, 1984)
...il avait juste fallu qu'elle traverse la terrasse sous l'averse, qu'elle entre dans le café, pour que sa grâce me prenne à nouveau à revers, pour que sa présence me dise que c'était elle dont j'avais envie, dont j'avais besoin, pour entrer à nouveau dans la couleur.
Alain Damasio, Les furtifs
La voir bouger, c'était la voir penser. Sa colère même était déliée, fouillée. Elle me rappelait cette intuition de Deleuze, que je lui avais répétée cinquante fois : que le charme était la vie du visage, était l'effet d'un visage qui vit.
Alain Damasio, Les furtifs
C'est Nous qui lui confions une immense part de ce dont il est fait. Soyons généreux, donnant avec amour au présent afin qu'en hérite peut-être aussi demain ?
“L'avenir, fantôme aux mains vides qui promet tout et qui n'a rien.”
— Victor Hugo
Serait-ce pour cette raison que si souvent, sous les paupières closes, réside l'image de l'Autre ?
Qui cherche l'infini n'a qu'à fermer les yeux !
Milan Kundera
Ô joli coeur tout veiné d'or,
Tant de sillons à combler encore,
Garantissent qu'alléger ton fardeau,
Te rendra à mes yeux toujours plus beau.
Le Kintsugi ou Kintsukuroi, cet art japonais qui signifie "réparation en or" et qui consiste à réparer des porcelaines ou céramiques brisées avec de la laque saupoudrée de poudre d'or. Le but de cette méthode traditionnelle japonaise est de prendre en compte l'histoire et le passé de l'objet et de considérer les accidents qu'il a pu connaître au cours de sa vie
Garder le meilleur, et réécrire toutes tes blessures à l'encre de lendemains sereins. Quelle belle histoire cela ferait !
Est-ce si naïf de croire que grâce à l'Amour, en quantités démesurées, on peut sauver et rebâtir quelqu'un ?
Je veux y apporter tous les compléments nécessaires, que toutes tes capacités, ton coeur, ton esprit et ton corps chantent ensemble et sans bride, à l'unisson avec les miens, qu'un jour on y a cru ensemble et que ce jour là, les murs ont volé en éclat, à force de trembler.
Qu'un jour on se sera serré les doigts tellement fort qu'on en aura brouillé à jamais les fragiles frontières de la peau.
Qu'on n'aura pas eu besoin de faire un enfant pour que nos vies battent dans les mêmes fibres.
Qu'on aura pu vivre ensemble sans attendre un monde différent.
Je t'aime, toi, la femme imparfaite qui a le potentiel de me rendre plus heureux que toutes les foules anonymes.
Tu es la réponse à mes lacunes et la cause qu'attendaient mes forces.
J'espère qu'un jour tu croiras en tout ceci plus solidement qu'au bleu du ciel qui se cache par delà les nuages de ton présent.
Ce bleu, ce serait celui de notre vie. Un bleu optimiste et Infini.
Viens, on t'enfuit dans une autre vie, celle à laquelle tout ton passé voudrait que tu ne croies pas qu'elle soit possible.
Et quelle belle symphonie que nos doigts enlacés...
There are days, months, years without end where hardly anything happens. There are minutes and seconds that contain a whole world. • Jean d'Ormesson, French novelist (1925-2017)
"L'amour sublime, unique, invincible, mène tout droit au bord du grand abîme, car il parle immédiatement d'infini et d'éternité. "
Henri-Frédéric Amiel ; Journal intime
‘A Splash Of Light’ - Penmon, Anglesey 'Bioluminescence, beneath Noctilucence’ - Anglesey Bioluminescence - July 13th 2018’
by Kris Williams
Le bonheur peut changer de nom, on reconnait toujours son odeur.
- B.
Un foyer volant qui traverserait la mer pour afficher ses couleurs sans frontières.
La chaleur d'un sourire est la seule qui ne rende pas la canicule plus pesante.
- B.
Garde le sourire, plus rien n'est grave
Tant qu'il nous reste une seconde de souvenir dans le crâne
Trop beau - Lomepal